Guilde des Phénix Noirs
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Antre des Phénix Noirs, fervents défenseurs de la liberté sur Alidhan.
 
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 Slaken FireHeart

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Slaken
Barbare au grand coeur
Slaken


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MessageSujet: Re: Slaken FireHeart   Slaken FireHeart Icon_minitimeJeu 14 Juin - 20:21

Slaken, le Berserker


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Episode 1 : Slaken, le dernier Loups d'argent



Slaken FireHeart, fils d’Hurtar FireHeart chef de la tribu barbare des Loups d’argent, vivant depuis longtemps sur les terres gelées du nord.
Comme tout barbares de la tribu, Slaken était destiner à devenir un grand et valeureux combattant, et, si son père ne succombais pas à un défi avant ça mort, il deviendrais le chef de la tribu.

Agé de 16ans, Slaken était déjà l’un des plus redoutable barbare de son clan, et magnais son épée à deux comme nul autre de sa tribu ; comme le disais son père, seul l’expérience de la guerre lui manquait.

Malheureusement la guerre arriva, si les Loups d’argent protégeaient la plaine, les Tigres noire, une tribu barbare dont la moitié était composé d’orcs ou de demi-orcs, eux, souhaitaient devenir la tribu la plus crainte du Val de Bise, et cela passais bien sur par l’élimination de la tribu dirigée par les FireHeart.

L’attaque fût violente et inattendu, les force inégale des deux cotés rendis la victoire évidente, les Loups d’argent subirais une lourde défaite …. La tribu disparaîtrait sûrement.
Slaken de son coté se battis vaillamment, ses ennemis était moins fort, mais malheureusement trop nombreux, alors que Slaken commençais à donner des premier signe de fatigue, il vit son père succomber sous les coups de Gurtar, le chef des Tigres noire.

Pour la première fois de sa vie, Slaken entras dans un état second, et pour la première, et sûrement la dernière fois, la tribu des Loup d’argent allais compter un Berserker dans ses rangs. En effet, les yeux de Slaken se remplirent de sang, sa fatigue s’évanoui aussi rapidement que la douleur des coups faisant suite, tout cela alors que ses coups devenais de plus en plus puissants et redoutables.

Les Tigres noire tombèrent enfin en nombre, malheureusement trop tard, Slaken restant le seul Loup d’argent encore debout, et même en état de rage, il ne bâterais pas à lui seul toute une tribu, d’autant plus que, comme tout berserker, sa rage n’était que temporaire, Gurtar le savais, et demanda simplement à ses barbares de faire duré le combat, quitte à y laisser leurs vies, mais le berserker ne vaincra pas.

Apres quinze minute de rage durant la quelle Slaken ne trouva pas d’égale, la fatigue et les morsures des coups refirent leurs apparitions, c’est à cet instant que Gurtar attaqua Slaken.
Les épées s’entrechoquèrent, mais l’expérience et l’état physique de Gurtar le firent gagner le combat, Slaken se retrouvant au sol, la lame adverse pointé sur son torse.
Contre toute attente, alors que la tribu des Tigres Noire attendait que leur chef assène le coup final au dernier Loups d’argent, Gurtar releva sa lame.

- La tribu des Loups d’argent est vaincu, toi, berserker, tu deviens l’un de mes guerriers, que cela te plaise ou non. Tu apprendras à m’obéir et me respecter, tout en devenant le premier berserker des Tigres Noire ainsi que ma plus redoutable arme.


Sept longues années se sont écoulées depuis la capture de Slaken, ce dernier, bien que retenu prisonnier et traiter comme tel pour refuser de se considérer Tigre noire, est devenu l’un plus puissant barbare du clan.
Cherchant depuis de longues années à s’enfuir, Slaken maintenant sur de ses aptitudes au combat fit par de sont idée au seul amis qu’il s’était fait, Juzir, le chaman de la tribu.


- Juzir, jamais je te remercierais assez pour se que tu a fait pour moi, tu ma soigner nombres de fois et m’a traité comme ton égale.


- Ne te méprend pas Slaken, si je t’ai soigné c’est car ta vie aux yeux de Gurtar valait plus que la mienne.


- Peut être, mais tu aurais pu, comme le reste de la tribu, me mépriser.

- Je ne suis pas un guerrier, les membres de la tribu te méprisent car tu n’est pas des n’autres, et pourtant, de tous tu est le plus craint, pour ma part, je sais qu’on ne ta pas laisser le choix, et que tu soufre parmi nous.

- Justement Jazir, je vais partir cette nuit, je suis assez fort pour vaincre les gardes, et cours assez vite pour qu’on ne me rattrape pas.

- Et si tu croises Gurtar ?

- Alors je le vaincrais, je ne resterais pas prisonnier ici plus longtemps.


- Je voulais te l’entendre dire, tu est en mesure de battre Gurtar à la loyal, si tu tente de t’enfuir, tu déshonoreras la tribu, et ta tête seras souhaiter plus que tout, au point de te pourchasser sur les plaines. Alors que si tu devis loyalement Gurtar, et que tu le bat, ta liberté te serras acquise d’honneur et aucun membre de la tribu te pourchasseras.

- Mais si je le défi, le titre de chef est en jeu, je ne veut pas diriger la tribu, simplement partir sur d’autre terres, vivre ma vie et prendre en main mon destin.

- Si tu gagnes, la tribu te reviendra, mais rien ne t’oblige de la diriger, tu peux très bien la donner à quelqu’un d’autre et partir, les guerriers de la tribu te détestent, te voir partir serrait pour eux un soulagement.

- Alors je te donnerais la tribu.

- Non, si tu fait cela tu me condamne a mort, je suis un chaman et toi partir, je serrais vite défier par un guerrier.

- Alors qui ?

- La fille de Gurtar, elle se bat très bien, et fait partie des meilleurs combattants de la tribu de plus, étant fille unique, elle sais q’un jours elle devras prendre le commandement de la tribu et se faire respecter en tant que barbare, et non en tant que femme.

- D’accord, tu à sûrement raison, merci Jazir, je ne t’oublierais pas.

- Aller va mon garçon, est longue vie à toi.


Le lendemain, sitôt le soleil au zénith, Slaken alla rencontrer Gurtar dans sa hutte.


- De quel droit te présente tu ici, gronda Gurtar.

- Je suis venu te défier, dit calmement Slaken

- Quoi ? Moi ? Après tout se que j'ai fait pour toi ?

- Tu me traite comme un esclave, je suis enchaîné la nuit et surveillé le jours.

- J'ai fait de toi l'un des plus puissant guerrier de la tribu.

- Je ne souhaite pas être puissant, mais libre, répliqua le jeune barbare.

- Alors tu serras mort, dit le chef de la tribu prenant sa grande hache et sortant de la hutte, suivi de Slaken.


Lorsque les deux hommes sortirent et se placèrent au centre du campement, rapidement les autres barbares, les encerclèrent en scandant le nom de leur chef.

- Ta mort signifiera la perte pour les Tigres noir de leur guerrier Berserker, je vais te le faire payer durant le combat.

- Tu te trompes Gurtar, tu n'as pas de berserker, je suis Slaken FireHeart, de la tribu des Loups d'argent


- J'ai décimais les Loups d'argent, si tu est encore en vie c'est parce que je l'ai souhaitais.


- Alors prépare toi à le regretter, lança Slaken courant l'épée lever sur Gurtar.


Gurtar para le coup, et la succession qui le suivi, les deux combattants avais une force équivalente, mais l'expérience jouer en faveur de Gurtar.
Ses coups bien que moins rapide que ceux de Slaken, fussent souvent bien plus dangereux, et plus le combat avancer, plus la fatigue rendait le combat incertain.
Alors qu'il pensais avoir enfin pris le dessus, Gurtar fut pris de peurs lorsqu'il vie les yeux de Slaken imbibés de sangs.

- NON, tu n’as pas le droit, cria Gurtar

- Tu à décimé mon clan, tué mon père et m’a privé de ma liberté, pour tout cela je vais t’envoyer en enfer.


Sur ces mots, et dans un état second, Slaken repris le combat, les coups se montrant de plus en plus puissant, Gurtar ne faisant que les bloquer tant bien que mal et manquant de tomber à plusieurs reprises, autour, le silence se fût, l'issu du combat était maintenant connu, Gurtar à perdu, mais combien de temps tiendrais t'il face à un berserker.
Très peu, fut la réponse apporter par Slaken, Gurtarn se sachant perdu tenta une attaque, qui victorieuse aurais privé son adversaire de la victoire, mais Slaken fit plus que l’esquiver, sa lame trancha le bras de Gurtar, qui tomba inerte au sol, la hache toujours bien serrer.
S’apercevant de sa fin Gurtar recula d'un pas, mais l'allonge de l'épée de Slaken, fut assez longue pour lui trancher la tête.

Après un long silence, Slaken, reposant son épée sur son dos et pris défia du regard les guerriers de la tribu.


- Je suis libre, et Gurtar est mort, je ne souhait pas faire parti des votre, je remet la tribu au main de Melka, fille de Gurtar, et maintenant chef des Tigres Noir.


N’ayant pas tout à fait retrouvé ses esprits, Slaken quitta la tribu et les terres gelées du nord, sans un mot, ni même un regard pour Jazir, se dirigeant vers le Sud, où des aventures et surtout sa vie, l’attendent.
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MessageSujet: Re: Slaken FireHeart   Slaken FireHeart Icon_minitimeMar 17 Juil - 12:22

Episode 2 : Slaken, la rage du berserker

Dix jours c'étaient écoulés depuis le combat contre Gurtar, les pleines gelées étaient magnifiques sous ce soleil, mais le jeune homme n'avais pas le coeur à y faire attention.

En effet, cela faisait aussi dix jours que le barbare vivais seul, même captif, Slaken à toujours vécu en tribu, son coeur bat ainsi, et, alors qu'il commençais à se demander s'il devait si habituer, il retrouva le sourire en voyant un petit village à environs vingt minutes de marche.

Arrivant aux abords de la ville, Slaken fût rejoins par deux gardes de la milice, surement prévenu par les enfants qui jouaient un peu plus loin.

- Halt, cria l'un des deux garde sans se montrait menaçant, vous êtes ici à Brise Poile, quatrième cité de la contré givrée, veuillez décliner votre identité et vos intentions.

- Bonjour, répondi le jeune homme, je me nomme Slaken FireHeart, je suis le dernier survivant de la tribu barbare des Loups d'Argent. Je descends actuellement vers le Sud, j'espère profité de votre cité pour me reposer et m'équiper.

- Trés bien, mais nous vous aurons à l'oeil. Concernant l'auberge, vous trouverez surement un bon lit et un bon repas à l'auberge Bienveillante; pour l'équipement, notre ravissante forgeron, Keldra, devrais pouvoir vous équiper.

Le barbare acquiesça de la tête avant de partir en direction de l'armurerie.

La place du village surpris Slaken, en effet, seul des gardes de la milice y son présent, où sont les enfants, les marchants et surtout les habitants ?

- Bonjour, cria le barbare en entrant dans l'armurerie, les gardes du village m'ont informaient que je trouverais armes et équipement ici.

- Oui, c'est bien vrai, s'écria ravi une jeune et jolie blonde aux yeux verts, malheureusement pour vous rien n'est offert.

- J'en suis conscient, voici tout ce que j'ai, environs cent-cinquante pièces d'or, j'aimerais un équipement complet et descend.

- Les barbares, tous les mêmes, regretta la jeune femme, ils vivent dans leurs coins, seuls, et quand ils arrivent, ils croient que la ville fonctionne comme leurs tribus. Chez vous l'argent est peu utilisé, ici c'est la première valeur marchande, et j'ai bien peur qu'avec ce que vous me proposez je ne puis que vous vendre un couteau, bien moins intéressant que l'épée usée que vous portez sur votre dos.

- Mais j'ai besoin d'un équipement convenable, soupira le jeune barbare, je descends vers le Sud, et seul, sans armure digne de ce nom et une épée correctement équilibrée, je ne ferais pas longtemps face aux nombreux tueurs que je rencontrerais.

-Bon, écoutez, en ce moment notre ville est la proie d'un groupe de bandits appeler les Ombres rouges, la milice offre discrètement dix mille pièces d'or à la personne qui mettra fin aux agissements de Vignaud le Rouge, le chef de ces bandits.

- Pourquoi la milice ne s'en occupe t-elle pas elle-même ?

- La milice a bien du travail en ce moment, Vignaud le Rouge est un redoutable guerrier, de plus, il est le fils d'un important Duc de la cité Dalicat, le maréchal ne peut pas prendre le risque de se mettre à dos une grande ville.

- Je comprends maintenant mieux le "discrètement" de la prime, mais sans équipement je ne peu pas m'attaquer à un redoutable guerrier.

- Un barbare modeste, je ne connaissais pas encore, soupira Keldra, bon, je suis prete à vous fournir un équipement correct que vous me payerez avec la prime, vous m'avez l'air honnête. Repassez demain matin, je vous fournirais l'équipement.

- Merci beaucoup, je vous rembourserais avec les interets.

- J'espère bien, répondît malicieusement la jeune femme.

Répondant lui aussi par un sourire, Slaken sorti de l'armurerie pour se diriger vers l'auberge, un bon repas et une bonne nuit de sommeil ne serez pas de refus.

Le soleil se levant doucement, le jeune barbare était déjà devant l'armurerie lorsqu'il vit Keldra vêtue comme un paladin.

- Bonjour, lança Slaken, quel est ce déguisement ?

- Apelle moi Keldra, dit la jeune femme toute euphorique, hier nous avions une relation entre client et vendeur, aujourd'hui nous sommes compagnons d'aventure, et toi qu'elle est ton nom ?

- Compagnons d'aventure ? Quelle aventure et depuis quand ?

- Depis cette nuit, j'ai bien réfléchi, je vais venir avec toi, et on se partagera la prime, un peu d'action ne me fera pas de mal. De plus je garderais un oeil sur l'équipement que je te loue ... d'ailleurs enfile cette armure, deux chevaux nous attendent.

- Bien,repondi le barbare encore sous l'étonnement, mon nom est Slaken.

Le temps passa très vite, quatre heures venaient de s'écouler, Keldra et Slaken avaient appris à s'apprécier et se comprendre, lorsque le camp des bandits entra dans leurs champs de vision.

- Déposons les chevaux et approchons discrètement, je prends par la droite et toi Slaken par la gauche.

Alors que Keldra se faufilé discrètement entre les arbres, Slaken avança à découvert dans le campement.

- Si tu bouges tu es mort, cria un bandits couvert par deux archers, que fait tu ici.

- Je viens pour parler avec Vignaud, lança Slaken pas inquiéter le moins de monde.

- Je suis ici, répondi le chef des bandits escorté par deux assassins dagues aux poings. Que me veut tu imbécile ?

- Je vous demande de partir, et de laisser cette ville tranquille, de plus, votre arme, symbole de votre départ serais un plus.

- Quel idiot, maudit barbare, chuchota Keldra énervée, c'est pas possible d'être aussi naif.

- Si tu veux que je te tue de suite fallait le demander simplement, ricana Vignaud, z'entendez les gars, il vient seul et il veut que l'ont partent.

- Qui a dit que je suis seul ?

- Ha non cria Keldra sortant de sa cachette pour rejoindre Slaken, tu ne peux pas mentir des fois ? On fait quoi maintenant, tu as mis tout notre plan à l'eau.

- Ben ils n'ont pas l'air de vouloir faire ce que je leur dis, alors on va leurs tapez dessus.

- Soit moins direct mon petit Slaken, sa finira par te jouer des tours, cria Keldra parant une flèche et brandissant son épée.

Le combat s'engagea rapidement, Slaken pu apprécier la qualité de son armure lorsque celle-ci dévia une flèche.

Le barbare était au prise avec les deux assassins, attaquant sans cesse pour les faire reculer, s'approchant ainsi des deux archers.

De son côté Keldra avait fort à faire avec Vignaud et le dernier bandit.

Les coups pleuvaient, Keldra réussis à tuer le bandit, mais Vignaud en profita pour la faire reculer et prendre l'avantage.

Slaken lui, réussi son plan et mit un archer au sol, tandis que le second, trop près pour armer, dégaina son épée pour se jeter dans la mêlée.

Voyant Keldra en difficulté et lui-même commençant à faiblir, le barbare ne put contenir plus longtemps ses émotions et entra en état de rage.

Les yeux imbibés de sang, et perdant toute pitié, Slaken trancha la tête de l'un des bandits avant de se jeter sur Vignaud, Keldra s'occupant des deux derniers adversaires de Slaken.

Malheureusement pour elle, en état de rage le barbare ne différencie pas amis d'ennemis, et Keldra garda son bras gauche grâce à la qualité de son armure, cette dernière ne l'empêchant pas de retomber deux mètres plus loin.

- Un berserker, trembla Keldra se tenant le bras.

Vignaud, lui, venais de comprendre son erreur, blesser un berserker ne sert à rien, il fallait le tuer, maintenant, son arme plantée dans la cuisse du barbare, Vignaud ne put rien faire pour éviter la mort qui lui déchira les entrailles.

Lorsque Vignaud s'écroula, Keldra vis fuir l'un des bandits alors que l'autre, le dernier, la pris par les cheveux et lui glissa sa lame sous la gorge.

- Arrete, si tu avances je la tue, hurla le bandit.

Slaken ne s'arreta un instant que pour retirer l'arme de Vignaud de sa cuisse, puis repris sa marche vers Keldra et le bandit.

- Il ne s'arrêtera pas, cria Keldra, c'est un berserker, que tu me tues ou non, nous sommes tous les deux condamnés.

Sur ces mots, le bandit lança sa dague vers Slaken qui la dévia avec son bouclier, puis lança son épée dans le dos du mécréant déjà sur le puis de fuir.

Le barbare lança un regard noir sur Keldra qui venait de se relever, n'ayant plus d'arme, le berserker du aller récupérer la sienne plantée dans le corps du dernier fuyard, Keldra en profita pour fuir à son tour.

Deux heures plus tard, lorsque Keldra pris la décision de retourner sur le champ de bataille, elle trouva Slaken assit sur un rondin de boit l'air dépité.

- Tu a gagner barbare, ou devrais-je dire berserker, dit-elle sur un ton agressif.

- Keldra, que c'est-il passé ? Ton bras ?

- Plus de peur que de mal, rassure toi Slaken, j'ai bien cru que tu allais me tuer.

- Excuse moi, j'aurais du te prévenir, mais je ne contrôle pas ma rage, si seulement je pouvais la maitriser.

- Tu aurais du m'en parler, mon grand-père, lui aussi forgeron a connu un berserker il m'en a beaucoup parlé, je me serais méfier un peu plus lors du combat. D'ailleurs, n'ayant pas les pouvoir d'un puissant mage, mon grand-père étant très amis avec ce berserker, décida de créer une armure qu'il fit enchanté par Milgard, l'un des plus puissants mages que notre région ai connu. Cette armure, créer avec les écaille d'un dragon des glaces, à la capacité de retenir l'âme de son porteur, en d'autres termes, lorsque tu la porte, ton âme ne quitte jamais ton corps, ce qui empêche tout état de rage, bien-sur tu es moins redoutable, mais tu ne risqueras pas de tuer un ami.

- Etre un berserker est une malédiction, je serais plus puissant en m'exerçant et en acquièrent de l'expérience, cette rage, je ne la contrôle pas, je souhaite m'en débarasser.

- Mon grand-père m'a dit qu'il existe plusieurs solutions pour contrôler la rage des berserker. La meilleur étant bien-sur qu'un grand mage, de retire cette capacité par sortilège, mais, peu de mage on cette puissance, même Milgard ne l'avait pas.
- Où puis-je trouver l'un de ces puissants mages ?

- Beaucoup plus loin dans le Sud, la première cité qui, je pense en abrite est Alidhan, à deux ou trois mois de marche d'ici, mais la cité est déchirée par la guerre, le temps que tu rencontres le mage qu'il te faut, tu auras fait des victimes, et comme aujourd'hui le prouve, les innocents serrons menacés aussi par toi.

- Alors il me faut l'armure de ton grand-père pour pouvoir aller à Alidhan, où est-elle ?

- Dans la grotte de Shivar, maudit Keldra d'un air agressif, Shivar est un vieux dragon des glaces, en apprenant l'existence de cette armure il voulut la récupérer, tu connais l'ambition des dragons. L'ami de mon grand-père n'a malheureusement pas fait le poid.

- Il me faut cette armure, donne moi la direction de cette grotte, le dragon à beaucoup à m'offrir.

- Tu risques ta vie.

- J'ai failli ôter la tienne, je ne veux plus faire courir le moindre risque aux personnes m'accompagnant.

- Alors je vais avec toi, je sais où se trouve la grotte, de plus, je vais aller récupérer la prime de dix mille pièces d'or, on pourra peut être acheter l'armure au dragon.

- Non tu ne viens pas, je serais dangereux pour toi.

- Je me cacherais durant les combats, et si combat il doit y avoir contre le dragon, tu auras besoin d'aide.

- Je ne tien pas à te faire de mal.

- Ne t'en fait pas Slaken, tout iras bien, attend moi ici, je vais chercher l'argent et des provisions, je me soigne et en route pour l'aventure.

- Je ne suis pas sûr que cela soit une bonne idée.

- Peut être, mais c'est moi qui commande, et puis grace à toi je réalise mon rêve, je suis une aventurière, cela vaut bien la peine de courir des risques.

- Je l'espère, chuchota Slaken regardant Keldra partir.

Lorsque Keldra réapparu, la nuit était tomber depuis trois heure, les deux jeunes personnes décidèrent de passer la nuit au campement des bandits, puis de partir le lendemain matin à la recherche de l'armure des glaces.
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