HRP : vu que j'ai été absente quelques temps, j'ai décidé de vous donner le privilège de devoir supporter une de mes histoires... bon je ne sais pas ce que ça va donner donc...
Il était une fois... oups l'habitude... donc un jour, alors que le soleil brillait de milles éclats, une demoiselle se promenait dans un jardin somptueux, elle respira le doux parfm des fleurs qui venait envahir ses narines.
Ce parfum l'envoutait au point que parfois elle se mit à fermer les yeux et à tourner sur elle en fredonnant (ne me demandez pas l'air je ne connais pas...)
Mais voila tout bonheur a une limite et celle-ci fut franchi par le souflle du vent qui d'un coup apporta des gros nuages qui se mirent à cacher le soleil pour finalement faire disparaitre les dernières rayons qui luttèrent amèrement contre cette épaisseur.
Le ciel était gris puis s'assombrit de nouveau, au loin nous pouvions entendre un bruit étrange, qui se rapprochait dangeureusement de la demoiselle.
Elle resta là à regarder le changement de la nature comme si le moindre de ses gestes pouvaient perturbées les éléments.
D'un coup, on pouvait entendre un grondement suivi quelques secondes par une lumière intense qui chargea le ciel, cette lumière tomba sur le sol dans un endroit spécifique (là ne me demandez pas non plus où elle attérit...)
Quand le grondement cessa après plusieurs écleirs qui se dessinèrent et se battèrent dans le ciel, des gouttes se firent sentir sur la paume de la main et la peau du visage de la demoiselle.
A peine levait-elle les yeux au ciel pour comprendre ce qui se passait, q'une averse tomba sur elle et dans les alentours, le grondement et les éclairs suivis d'un vent violent se firent ressentir sur toutes les extrêmités du corps de la jeune fille.
En effet, le vent la refroidit comme si un glaçon s'était faufiller dans ses vêtements, la pluie n'arrangea rien car plus l'eau tombée sur elle et plus ses vêtements devinrent lourds et froids puis ce grondement réveillait un mort tellement il était effrayant.
Le beau jardin qu'elle voyait quelques minutes plus tot fut détruit en un instant et l'odeur des parfums des fleurs ne se fit plus sentir, seul la rudesse de la pluie rappelait à la fille qu'il faut profiter de chaque instant car celui-ci peut être détruit en quelques secondes.
Personne ne pouvait voir les larmes de la demoiselle car les gouttes de cette averse cachait subtilement la tristesse de cette fille.
Elle repartit le coeur lourd mais garda cette image et ce bonheur dans son coeur malgré la froideur d'un tel changement de la nature.